Si vous souhaitez participer aux recherches menées … 

Si vous faites partie d’une équipe pédagogique et que nos travaux vous intéressent, collaborez avec nous afin de nous aider à faire avancer la science ! 

Soyez à l’origine d’un programme de recherche : Tout le monde peut être à l’origine de l’élaboration d’un nouveau programme de recherche soutenu par le CoReCRE. N’hésitez pas à nous faire part de vos questionnements en nous contactant ici

Participez simplement à un programme de recherche déjà existant : La responsabilité scientifique des programmes de recherche soutenus par le CoReCRE est nécessairement porté par un spécialiste du domaine en question. Par exemple, seul un spécialiste de la psychologie de la créativité pourra être porteur d’un programme de recherche concernant la créativité. Nous sommes sans cesse à la recherche d’établissements scolaires / de classes de différents niveaux qui pourraient nous accueillir afin de répondre aux différents protocoles expérimentaux. Ci dessous,  vous trouverez différents exemples de projets par lesquels vous pourriez être intéressé. Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à nous contacter !

Exemple de quelque programmes de recherche que nous menons actuellement

 

N’hésitez pas à nous rejoindre !

 

Ce projet questionne le développement de la perception de la beauté, en tenant compte de l’évolution du système perceptif.

Il est aujourd’hui largement admis que les enfants d’âge préscolaire ne perçoivent pas le monde de la même manière que nous autres adultes. Alors que nous percevons la foret avant de percevoir les arbres qui la constituent, les petits se focalisent directement sur les arbres.

Dans quelle mesure cette différence de perception visuelle impacte-t-elle la perception de la beauté et la compréhension des oeuvres d’art ? 

A l’école, l’intérêt et le développement des compétences de créativité peuvent parfois être réduites à des matières telles que l’art plastique ou encore les arts visuels.

Or, il est tout à fait légitime de s’interroger sur les bienfaits de la génération d’idées “créatives” (i.e., inhabituelle compte tenu des réponses évidentes) au quotidien.

Etant donné les enjeux sociaux qui marquent la période de l’adolescence, ainsi que les effets de polarisation mis en évidence au sein des groupes sociaux, nous pouvons logiquement envisager que la capacité à générer des idées différentes de celles envisagées initialement soit un élément favorable à la diminution des conflits sociaux à l’adolescence.

Dans quelle mesure un contexte social de groupe influence les performances de créativité, et comment ces effets se développent – ils ?

 

Au delà de cette question fondamentale qui alimente ce projet, il est bien évidemment question d’évaluation des méthodologies qui peuvent être utilisées en groupe dans le but de stimuler la créativité à l’école. Par exemple, une des méthodologie les plus faciles à mettre en place à l’école est la technique du brainstorming. Or, il a déjà été mis en évidence au sein de groupe de travail dans les industries, que les individus en brainstorming sont moins créatifs que lorsqu’ils performent une tâche seule. Les enfants sont-ils aussi sujets à ces effets ? Si oui, quelles sont les aides qui peuvent être apportées aux enseignants dans la mise en place de telle méthode ?

 

 

Ce projet, très fondamental, tente de comprendre dans quelle mesure les associations qui sont proposées par les individus lors d’une tâche de créativité, dépendent d’un réseau de connaissances acquises par l’individu, et de la manière dont elles sont structurées.

Ce projet est certainement l’un des plus ambitieux de ceux que nous proposons actuellement. Il ne nécessite que des conditions de passations d’expérience très simple, et permettrait d’obtenir des réponses à la fois concernant la mobilisation des réseaux de connaissances, mais aussi la manière dont ces réseaux s’organisent selon l’âge de l’individu.